Les annonces du premier Ministre, le 6 mars dernier à Noisy-Champs, viennent concrétiser le long travail de conviction mené par la Région Île-de-France et son président, Jean-Paul HUCHON, depuis 2006 sur trois sujets majeurs pour les Franciliens : l’amélioration des transports du quotidien, la création d’un réseau efficace de banlieue à banlieue, une relance économique par les grands travaux.
1/ L’amélioration des transports du quotidien
Depuis la création des RER dans les années 70, les quarante dernières années ont été marquées par un désengagement chronique de l’État dans les transports en commun franciliens.
Le résultat de cette situation se révèle cruellement chaque jour pour les usagers. Le RER B, emprunté quotidiennement par 900.000 voyageurs, a ainsi vu sa fréquentation augmenter de 35 % en dix ans. Avec jusqu’à un train sur trois retardé chaque jour, les voyageurs sont les premières victimes de ce phénomène de saturation.
Consciente de la priorité que constitue l’amélioration de l’offre, la Région a, depuis 2006 et la décentralisation du STIF, démultiplié son effort en faveur des transports collectifs qui représentent le premier budget du Conseil régional qui y consacre chaque année 1,5 milliard d’euros.
En 2008, la Région et les collectivités territoriales franciliennes ont bâti un Plan de mobilisation de 18 milliards d’euros à l’horizon 2020. Son objectif était crucial : améliorer en dix ans les transports du quotidien en Île-de-France.
Cette mobilisation a d’ores et déjà porté ses premiers fruits. En 2012, ce sont ainsi 280.000 Franciliens qui ont profité des prolongements des lignes de tramway T1, T2 et T3 ainsi que de la ligne 12 du métro. En 2013, ils seront 400.000 à bénéficier de la prolongation de la ligne 4 du métro, de l’amélioration du RER B Nord ou de la création des lignes de tramways T5 et T7.
Avec l’annonce de Jean-Marc AYRAULT d’un triplement des crédits consacrés par l’État au Plan de mobilisation que viendront compléter les 2,5 milliards d’euros qu’a déjà annoncés la Région, un nouvel élan est donné à cette dynamique.
En moins de cinq ans, les 7 milliards d’euros investis par les pouvoirs publics permettront le lancement et l’achèvement de 42 chantiers de nouvelles lignes de tramways et de bus à haut niveau de service, de prolongement de lignes de métro, de modernisation des RER, de création et de rénovation de gares.
2/ La réalisation d’un nouveau réseau banlieue-banlieue intégralement livré en 2030
Face au projet initial de Nicolas SARKOZY et de Christian BLANC d’une boucle ne reliant que les « pôles d’excellence » régionaux, la Région Île-de-France et Jean-Paul HUCHON ont plaidé, depuis plus de deux ans, pour la mise en œuvre d’un réseau reliant avant tout les pôles d’emploi et de vie de la première et de la deuxième couronne.
1/ L’amélioration des transports du quotidien
Depuis la création des RER dans les années 70, les quarante dernières années ont été marquées par un désengagement chronique de l’État dans les transports en commun franciliens.
Le résultat de cette situation se révèle cruellement chaque jour pour les usagers. Le RER B, emprunté quotidiennement par 900.000 voyageurs, a ainsi vu sa fréquentation augmenter de 35 % en dix ans. Avec jusqu’à un train sur trois retardé chaque jour, les voyageurs sont les premières victimes de ce phénomène de saturation.
Consciente de la priorité que constitue l’amélioration de l’offre, la Région a, depuis 2006 et la décentralisation du STIF, démultiplié son effort en faveur des transports collectifs qui représentent le premier budget du Conseil régional qui y consacre chaque année 1,5 milliard d’euros.
En 2008, la Région et les collectivités territoriales franciliennes ont bâti un Plan de mobilisation de 18 milliards d’euros à l’horizon 2020. Son objectif était crucial : améliorer en dix ans les transports du quotidien en Île-de-France.
Cette mobilisation a d’ores et déjà porté ses premiers fruits. En 2012, ce sont ainsi 280.000 Franciliens qui ont profité des prolongements des lignes de tramway T1, T2 et T3 ainsi que de la ligne 12 du métro. En 2013, ils seront 400.000 à bénéficier de la prolongation de la ligne 4 du métro, de l’amélioration du RER B Nord ou de la création des lignes de tramways T5 et T7.
Avec l’annonce de Jean-Marc AYRAULT d’un triplement des crédits consacrés par l’État au Plan de mobilisation que viendront compléter les 2,5 milliards d’euros qu’a déjà annoncés la Région, un nouvel élan est donné à cette dynamique.
En moins de cinq ans, les 7 milliards d’euros investis par les pouvoirs publics permettront le lancement et l’achèvement de 42 chantiers de nouvelles lignes de tramways et de bus à haut niveau de service, de prolongement de lignes de métro, de modernisation des RER, de création et de rénovation de gares.
2/ La réalisation d’un nouveau réseau banlieue-banlieue intégralement livré en 2030
Face au projet initial de Nicolas SARKOZY et de Christian BLANC d’une boucle ne reliant que les « pôles d’excellence » régionaux, la Région Île-de-France et Jean-Paul HUCHON ont plaidé, depuis plus de deux ans, pour la mise en œuvre d’un réseau reliant avant tout les pôles d’emploi et de vie de la première et de la deuxième couronne.
Les options régionales ont été confirmées par l’enquête publique de grande ampleur menée auprès des Franciliens.
Cette détermination sans faille a conduit le précédent gouvernement à renoncer à sa décision première en signant un premier accord de principe sur le financement du futur métro automatique et du Plan de mobilisation régional.
Il y avait pourtant encore loin de la coupe aux lèvres…
Aujourd’hui, la détermination de la Région Île-de-France a rencontré la volonté du gouvernement AYRAULT à bâtir, en Île-de-France, un réseau performant et réellement au service des Franciliens.
Les arbitrages quant à la date d’achèvement des travaux et l’adaptation des capacités aux prévisions de trafic rendus par le gouvernement, qui a hérité d’un projet dont le coût et le calendrier avait été évalué dans la précipitation, rendent possible la réalisation d’un projet de 26,5 milliards d’euros auxquels s’ajouteront les 7 milliards d’euros consacrés jusqu’en 2017 aux transports du quotidien.
Ainsi, 72 nouvelles gares reliées par 205 kilomètres de nouvelles lignes permettront à neuf franciliens sur dix d’habiter à moins de 2 kilomètres d’une gare.
Parallèlement, 70.000 nouveaux logements seront construits par an autour des nouvelles gares.
3/ Un chantier majeur pour la relance économique en Île-de-France
Alors même que la crise frappe de plein fouet les Franciliens, ce chantier historique participera pleinement de l’effort de relance que la Région Île-de-France a engagé depuis plusieurs années à travers sa politique de grands travaux (construction et rénovation de lycées, de CFA, de logements, de bâtiments universitaires, etc.).
Ce sont ainsi plus de 250.000 emplois qui seront concernés pour la seule réalisation du nouveau schéma de transports dont 50.000 dans les cinq prochaines années.
Plusieurs milliers de nouveaux emplois pérennes verront, par ailleurs, le jour au fur et à mesure de la mise en œuvre des nouvelles lignes pour assurer l’exploitation du réseau et la maintenance des matériels.
Dans un contexte économique et social extrêmement difficile, cet engagement constitue un signal majeur de la volonté de l’État et de la Région d’assumer pleinement leur responsabilité de donneurs d’ordre en matière de commande publique et donc de créations d’emplois non-délocalisables.
À ce titre, la Région Île-de-France s’affirme une nouvelle fois comme un levier essentiel de la croissance dans notre pays.
Cet accord sans précédent constitue une reconnaissance pleine et entière des efforts menés de longue date par la Région Île-de-France et un exemple de réussite à suivre en matière de recherche de consensus, de concertation citoyenne et de gouvernance partagée pour l’ensemble des champs d’action publique.
Aujourd’hui, la détermination de la Région Île-de-France a rencontré la volonté du gouvernement AYRAULT à bâtir, en Île-de-France, un réseau performant et réellement au service des Franciliens.
Les arbitrages quant à la date d’achèvement des travaux et l’adaptation des capacités aux prévisions de trafic rendus par le gouvernement, qui a hérité d’un projet dont le coût et le calendrier avait été évalué dans la précipitation, rendent possible la réalisation d’un projet de 26,5 milliards d’euros auxquels s’ajouteront les 7 milliards d’euros consacrés jusqu’en 2017 aux transports du quotidien.
Ainsi, 72 nouvelles gares reliées par 205 kilomètres de nouvelles lignes permettront à neuf franciliens sur dix d’habiter à moins de 2 kilomètres d’une gare.
Parallèlement, 70.000 nouveaux logements seront construits par an autour des nouvelles gares.
3/ Un chantier majeur pour la relance économique en Île-de-France
Alors même que la crise frappe de plein fouet les Franciliens, ce chantier historique participera pleinement de l’effort de relance que la Région Île-de-France a engagé depuis plusieurs années à travers sa politique de grands travaux (construction et rénovation de lycées, de CFA, de logements, de bâtiments universitaires, etc.).
Ce sont ainsi plus de 250.000 emplois qui seront concernés pour la seule réalisation du nouveau schéma de transports dont 50.000 dans les cinq prochaines années.
Plusieurs milliers de nouveaux emplois pérennes verront, par ailleurs, le jour au fur et à mesure de la mise en œuvre des nouvelles lignes pour assurer l’exploitation du réseau et la maintenance des matériels.
Dans un contexte économique et social extrêmement difficile, cet engagement constitue un signal majeur de la volonté de l’État et de la Région d’assumer pleinement leur responsabilité de donneurs d’ordre en matière de commande publique et donc de créations d’emplois non-délocalisables.
À ce titre, la Région Île-de-France s’affirme une nouvelle fois comme un levier essentiel de la croissance dans notre pays.
Cet accord sans précédent constitue une reconnaissance pleine et entière des efforts menés de longue date par la Région Île-de-France et un exemple de réussite à suivre en matière de recherche de consensus, de concertation citoyenne et de gouvernance partagée pour l’ensemble des champs d’action publique.
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